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À la fin du premier Sommet africain sur le climat, la déclaration de Nairobi adoptée par les participants met l’accent sur le potentiel et l’ambition du continent d’être la solution mondiale du changement climatique.
Pour ce faire, les dirigeants africains ont appelé à multiplier les flux actuels de financement via la mise en place d’une réforme de l’architecture financière mondiale y compris la restructuration et l’allègement de la dette, dont le fardeau pèse sur les économies lourdement impactées par le réchauffement de la planète.
Les participants au premier sommet africain sur le climat ont appelé à une réforme du système financier et l’allègement de la dette.
Un total de 23 milliards de dollars d’investissements internationaux a été promis durant les trois jours de sommet dont plus de 4.5 milliards venant des Émirats arabes unis pour les énergies propres en Afrique. Les participants prévoient de faire passer leur capacité de production d’énergies renouvelables de 56 gigawatts à au moins 300 gigawatts d’ici 2030.
