Salon aéronautique de Dubaï : des taxis volants prêts à décoller

Vues : 27
0 0
Durée de lecture :1 Minute, 12 Secondes

Des taxis volants, bientôt dans les airs de nos villes.

Les spécimens de l’appareil ont été présentés au salon aéronautique de Dubaï. Innovation majeure à cette exposition technologique.

Des Etats-Unis à l’Inde, en passant par les Émirats Arabes Unis, cet engin sorti tout droit des sciences-fictions, s’apprête à voler pour de vrai en 2025. C’est une promesse d’Archer Aviation.

« Ce que nous avions l’habitude de considérer comme de la science-fiction est désormais un fait scientifique. Cela se produit, c’est réel. Et vous le verrez sur le marché en 2025. » Confit Billy Nolen, Responsable de la sécurité d’Archer Aviation.

Le leader mondial des avions électriques à décollage et atterrissage verticaux, est sur le point de mettre sur le marché, un taxi révolutionnaire ; et surtout très propre.

« Nous l’avons conçu autour de cette analyse de rentabilisation afin d’opérer dans des environnements urbains, par exemple de l’aéroport au centre-ville, vers quelque chose de totalement zéro émission, entièrement durable. Il est respectueux de l’environnement. Il a environ 100 fois moins de signatures sonore qu’un hélicoptère conventionnel, donc très convivial pour les voisins également. » Ajoute Billy Nolen.

Les taxis volants emprunteront les itinéraires existants pour les hélicoptères. Ils sont théoriquement plus sûrs, moins chers et plus respectueux de l’environnement. Il se recharge en six à sept minutes, le temps de débarquer les passagers entre deux trajets, et son autonomie est d’environ 160 kilomètres avec une vitesse de 240 kilomètres par heure.

Africanews

Happy
Happy
0 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

Average Rating

5 Star
0%
4 Star
0%
3 Star
0%
2 Star
0%
1 Star
0%

Laisser un commentaire

Next Post

RDC : un procureur-adjoint s'explique sur la lenteur de la CPI

ven Nov 17 , 2023
La justice pénale internationale est lente, a reconnu jeudi à Kinshasa Mame Mandiaye Niang, procureur adjoint de la Cour pénale internationale (CPI), mais, a-t-il assuré devant des journalistes congolais sceptiques quant à son efficacité, elle « ne se décourage pas ». La République démocratique du Congo avait déjà saisi en 2004 la […]

Vous pourriez aimer

Verified by MonsterInsights